En effet, l'accès au travail des autres, non pas uniquement comme inspiration, mais aussi comme un bloc sur lequel construire, permet de ne pas réinventer la roue et au final de faire des logiciels plus complets.
Ceci peut se faire notamment par l'utilisation de bibliothèques (qui sont des bouts de code pour lesquels il faut avoir des droits avant de les incorporer dans son projet).
Mais on peut également citer le principe du fork, si présent dans le monde du Libre, et qui consiste à créer un dérivé d'un logiciel qui va parfois continuer son cycle de vie séparément.
En l'occurence, la liberté d'étudier le code source permet de s'assurer de ce que fait un logiciel, ce qui n'est pas possible lorsqu'il s'agit d'une boîte noire.
Mais la liberté de modifier le logiciel, ou celle de le dériver (fork), sont également précieuses, puisqu'elles permettent de diriger le logiciel dans une direction qui nous correspond mieux, ou avec laquelle nous sommes en accord.
Ce dernier point est fondamental parmi les principes du logiciel Libre, puisqu'il donne le contrôle aux utilisateurs.