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\subsubsection{La bascule synchrone JK}
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\subsubsection{La bascule synchrone JK}
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\clearpage
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\section{Register Transfer Level (RTL)}
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Le RTL est le niveau au dessus des couches physiques et logique, mais en dessous des couches algorithmique de haut niveau.
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Jusque dans les années 1970, les circuits électroniques étaient faits à la main.
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Avec l'apparition de l'Electronic Design Automation (EDA), il a fallu automatiser.
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On a pu créer des puces, c'est-à-dire des circuits plus petits et denses.
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Au niveau Algorithmique on s'intéresse au côté fonctionnel de ce qu'on cherche à faire.
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Quand on passe au niveau RTL, on cherche à savoir combien de portes logiques on veut, quelles sont les contraintes.
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Au niveau encore en dessous, on va déterminer le routage des portes et puis leur fabrication.
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L'ingénieur / designer s'occupe des couches Algorithmique et RTL, tout le bas sera automatisé par EDA\@.
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Pour cela il a besoin de feedback.
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Il va donc considérer des contraintes que le logiciel EDA pourra prendre en compte pour indiquer si elles ont été respectées ou pas.
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On peut choisir ses contraintes, par exemple consommation, taille de puce, ressources, temps\ldots
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Pour programmer au niveau RTL on va utiliser un langage descriptif, le VHSIC Hardware Description Language (VHDL), qui fonctionne en logique séquentielle (opérations exécutées relativement à une horloge).
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Ce langage est apparu en 1987 et destiné dans un premier temps à la simulation (pour tester les circuits avant de les fabriquer), puis à la synthèse.
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\subsection{Exemple de la bascule D}
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La bascule D est séquentielle et synchrone.
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\begin{itemize}
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\item synchrone~: conditionné par une horloge.
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\item séquentiel~: grâce à l'effet mémoire, la sortie de l'état précédent peut être réinjectée en entrée.
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\end{itemize}
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\subsection{Exemple du multiplexeur}
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Le multiplexeur est combinatoire et asynchrone.
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Il n'utilise pas d'horloge et n'a pas de mémoire.
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\end{document}
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\end{document}
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